L’énergie divine et les anciens mystères
- Gilles DELEAUNE
- 2 févr.
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 24 mars
Dans l’éternel ballet de la vie, les anciens adeptes de l’Égypte et d’autres cultures avaient découvert le pouvoir sacré du cercle et de la sphère, ces modèles géométriques primordiaux de la création. Les anciens Égyptiens utilisaient la pratique spirituelle de l’encerclement, créant des frontières énergétiques pour contenir ou protéger des individus.
Au fil du temps, cette pratique a évolué en Europe médiévale, où les cercles de protection abritaient les magiciens des forces invisibles. Dans nos temps modernes, la guérison bioénergétique nous enseigne à ressentir et à projeter notre énergie vitale.
L’une des pratiques fondamentales consiste à créer entre nos mains une sphère d’énergie, programmée par les vibrations de couleurs spécifiques. La lumière dorée répare les réseaux énergétiques subtils, activant les connexions divines. Le rose éveille l’amour et la compassion, tandis que le vert purifie et élimine les toxines.
Mais la sphère peut évoluer en quelque chose de plus dynamique, le tore. Ce double vortex ouvre un canal à travers la sphère, transformant l’énergie en un flux équilibré entre le centre divin et la périphérie physique. Le tore, avec ses vortex en forme de cônes, crée une hyperbole—la géométrie du Graal.
Le corps humain, calice du Graal, reçoit le flux divin par la couronne céleste et l’abdomen terrestre. Cette circulation en forme de tore alimente notre canal central, activant notre champ énergétique pour devenir un réceptacle des énergies divines.
Aujourd’hui, cette pratique ancestrale de la circulation énergétique se retrouve dans l’activation des chakras du corps. Le tore prend des formes variées dans la nature, des sphères parfaites aux anneaux aplatis. Ces formes géométriques révèlent les ombres des réalités dimensionnelles supérieures, nous connectant aux mystères universels.
-- Lire la suite : Le mystère sacré du Tore et du Graal et Le mystère sacré du Tore et de l’Hypersphère

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